Pour le CESER, répondre ou tenter de répondre aux objectifs d’un Lycée du Futur qui participe à la fois au bien-être des élèves et de la communauté éducative, qui prépare l’avenir tout en s’inscrivant dans le territoire et dans la transition écologique, n’est-ce pas une manière de relever le défi de la citoyenneté ? C’est par cette interrogation que la seconde Assemblée a débuté sa réflexion sur le Lycée du Futur. A l’identique de la transition écologique qui doit aller au-delà des solutions techniques (énergie, bas carbone, bâtiment), il en est de même pour la construction du Lycée du Futur qui devra permettre d’aller au-delà des solutions techniques en termes de bâti…
Considérant que les aspects techniques sont les prémices d’un Lycée du Futur qui permet de répondre aux besoins physiologiques de chacun en termes de vivre dans un endroit décent, d’avoir une alimentation saine … ceux-ci ne pourront se développer et perdurer sans l’apport de règles de vie démocratiques. Pour John DEWEY, l’école serait « la forme embryonnaire de la communauté démocratique ? »
Dans ce cadre, le CESER a orienté sa contribution sur la prise en compte d’une éducation à la citoyenneté pour un Lycée du Futur garantissant l’apprentissage de valeurs humaines essentielles et écologiques pour le bien-être de tous et pour la construction d’un futur désirable.
Dans le cadre de l’élaboration de sa contribution, le CESER a croisé les propositions pour un Lycée du Futur avec les trois fils rouges de la nouvelle mandature :
- favoriser une ruralité attractive,
- freiner le développement de la précarité et des discriminations
- et permettre aux jeunes de se projeter dans un futur désirable au sein du Grand Est.
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